Criminologie, criminalité, pays socialiste, URSS, URSS Union des Républiques Socialistes Soviétiques, industrialisation, guerre mondiale, hooliganisme, politique
Il n'est pas facilement aisé de décortiquer avec précision la criminalité qui existait dans les ex-pays socialistes, étant donné que cette criminalité était dissimulée dans des dossiers ultrasensibles considérés à l'époque comme des secrets d'État.
Néanmoins, on a pu recueillir un certain nombre d'informations sur la criminalité des ex-pays socialistes grâce aux efforts des organismes de l'ex-URSS et beaucoup d'auteurs qui s'étaient intéressés à la question. Entre autres, on peut citer M. Karpets, directeur de l'institut fédéral d'étude des causes de la criminalité et d'élaboration des mesures de prévention de l'URSS. Ce monsieur a constaté sur la base des statistiques dont il disposait, que le taux de criminalité de ces pays était en baisse constante, plus précisément en Pologne où les statistiques auraient enregistré une baisse spectaculaire de 1971 à 1977 de la criminalité dans son ensemble.
[...] La criminalité juvénile ou le hooliganisme Cette criminalité juvénile a été définie de différentes manières par beaucoup de pays, entre autres la Hongrie et la Tchécoslovaquie. Cependant il y a une définition universelle des criminologues à ce propos : le hooliganisme est une violation de l'ordre public démontrant le non-respect des lois de la société. Définition hongroise : Le hooliganisme est un comportement antisocial susceptible de provoquer l'indignation et la méfiance des autres Définition tchécoslovaque : Le hooliganisme, c'est de l'aventurisme. [...]
[...] Entre autres, on peut citer M. Karpets, directeur de l'institut fédéral d'étude des causes de la criminalité et d'élaboration des mesures de prévention de l'URSS. Ce monsieur a constaté sur la base des statistiques dont il disposait, que le taux de criminalité de ces pays était en baisse constante, plus précisément en Pologne où les statistiques auraient enregistré une baisse spectaculaire de 1971 à 1977 de la criminalité dans son ensemble. La baisse considérable de cette criminalité s'expliquait surtout par l'omniprésence de la police et des forces du KGB qui surveillait constamment les populations en toute discrétion. [...]
[...] Dans un tel système, on imagine facilement que cela aboutisse à une criminalité de la population prolétaire. La criminalité politique C'était la délinquance politique. Tous les pays de l'Europe de l'Est, y compris l'URSS, ne connaissaient pas la différence entre une infraction de droit commun et une infraction contre l'État. À l'époque, toutes les infractions étaient considérées comme des atteintes à la sûreté et à l'intégrité territoriale de l'État. Par conséquent, les sanctions étaient très sévères avec un système pénitentiaire cruel. [...]
[...] La criminalité de fonction C'est une criminalité liée à la fonction publique de certaines personnes. Ils profitaient de leur position privilégiée pour abuser de leur pouvoir. Ce qui a donné lieu à une corruption généralisée. La criminalité économique Le système économique russe comprenait 4 étages : Au sommet, on avait l'armée russe qui avait un budget colossal et nettement supérieur à celui de plusieurs États de l'Union soviétique. Les Russes avaient l'armée la plus sophistiquée du monde à l'époque avec la création d'une force spéciale redoutable, dénommée l'armée rouge. [...]
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