La France a d'ailleurs un taux de syndicalisation parmi les plus bas d'Europe :
10 % des salariés appartiennent à une organisation syndicale. Et ce syndicalisme est encore affaibli par son éclatement.
Selon l'article L. 410-1 du Code du travail, le syndicat professionnel se définit comme une association de personnes exerçant la même profession, des métiers déterminés ou la même profession libérale.
Il a pour objet l'étude et la défense des droits ainsi que les intérêts matériels et moraux, tant collectifs qu'individuels, des personnes visées par leurs statuts.
La CGT, Confédération Générale des Travailleurs, est l'un des plus importants syndicats en France. En effet, il compte aujourd'hui plus de 700 000 adhérents.
Ce syndicat est né avec la volonté des salariés de s'organiser collectivement et durablement pour défendre leurs intérêts face à l'oppression et à l'exploitation. Mais également pour conquérir des droits, pour imaginer un monde plus juste et proposer des voies pour y parvenir (...)
[...] et la C.F.D.T., F.O. refuse de s'y rallier. Le mouvement de 68 a permis : l'extension de la 4ème semaine de congés payés (adoptée le 2 mai avant les mouvements de grève), l'instauration d'une loi reconnaissant la section syndicale d'entreprise, l'augmentation du SMIC de ; augmentation des salaires de 15 à parfois plus ; échelle mobile des salaires dans de nombreuses branches ; retour progressif aux 40 heures hebdomadaires abandonnées après la guerre. H - 1990 Mouvements Sociaux - Crise du syndicalisme ? [...]
[...] Les années 1990, le Mouvement Social de 1995 et ses suites 1990 - 1995 - Alors que le libéralisme fait des ravages, les syndicats sont confrontés à une situation grave : précarité, chômage, marginalisation, bas salaires, dévaluation des qualifications, remise en cause des droits sociaux menacent la société d'implosion. Janvier 1991 - Guerre du Golfe opposant les américains et leurs alliés (dont la France) à l'Irak. La CGT s'oppose à cette guerre et participe à toutes les manifestations organisées contre elle en France. [...]
[...] En ce qui concerne les revendications personnelles, il n'y en a aucune Qui finance la CGT ? L'entreprise doit reverser de la masse salariale au Comité d'entreprise. Dans ces il y a une partie accordée aux organisations syndicales proportionnellement aux résultats des élections. Dans le cas de SS, la CGT a été élue à elle aura donc un budget plus important qui lui sera alloué. Cette somme sert à financer les tracts, le matériel, les formations, les livres, etc . [...]
[...] Durant ces années la CGT s'oppose à l'âge de départ en retraite trop tardif (65 ans). Mais la loi finalement promulguée le 5 avril 1910 était amendable sur ce point, puisque la loi de finances du 27 février 1912 abaissa cette limite a 60 ans. C'est donc surtout sur le financement que la CGT s'est battu. Elle ne voulait pas de cotisation ouvrière, car les salaires étaient déjà dans la plupart des cas insuffisants pour vivre : on aggraverait la condition des ouvriers en amputant les salaires. [...]
[...] Le 07 avril 1943, les Ex unitaires et Confédérés se rencontrent en région parisienne et signent la réunification de la CGT par ce qu'il est convenu d'appeler "les accords du Peureux". Le 6 juin 1944, les troupes alliées, composées d'un grand nombre d'unités américaines et anglaises, débarquent en Normandie. Dès lors, dans toute la France, les groupes armés se multiplient, les grèves, barricades et toutes formes de luttes, participent à la libération du pays. Le 18 août 1944, la CGT donne l'ordre de grève générale pour la libération du pays (en accord avec le bureau de la CFTC). [...]
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