Dans ce rapport devront donc figurer des informations sur les consommations de ressources (eau, matières premières, énergie ...) mais aussi les rejets qui affectent l'environnement (notamment les gaz à effet de serre). Dans ce rapport devront également figurer les mesures prises par les entreprises pour limiter les atteintes à l'environnement. Les entreprises devront également donner des informations sur les mesures prises pour former et informer les salariés sur l'environnement, les mesures prises pour réduire les risques ou les mesures prises pour utiliser des énergies renouvelables. On doit aussi y voir l'impact de chaque entreprise sur le développement régional ...
[...] - Il faut désigner une personne ou un groupe de personnes responsables de ces procédures au sein de l'entreprise. - Le code de conduite doit être connu par tous (diffuser à tous) c'est-à- dire non seulement les personnels de l'entreprise mais également les fournisseurs voire même les consommateurs. Il faut veiller à ne laisser aucun acteur hors du code de conduite (sous-traitants, intérimaires). - Le code de conduite doit être en conformité avec la politique des associations partenaires. - Ce code de conduite ne doit contredire aucun des textes fondamentaux, des normes internationales notamment en matière des droits de l'homme et de la protection de l'environnement. [...]
[...] Cependant, d'autres entreprises ont des discours très différents, ils veulent s'engager vers autre chose pour dépasser les limites. [...]
[...] Pour mettre en œuvre cela, il faut des organismes extérieurs aux entreprises, rattachés à l'ONU. Face à ce dispositif, de nombreux lobby sont partis en guerre contre ces normes ; de grandes entreprises comme SHELL sont contre çà, arquant que le concept de Corporate Social Responsability suffit. Le US Council for International Business a même dit que ces normes allaient privatiser l'application des droits de l'homme et provoquerait un désinvestissement dans les PID. Il n'y a pas de position commune concernant les pays de L'UE (pression des lobby). [...]
[...] Promouvoir des critères rigoureux en matière de gouvernement d'entreprise. L'environnement : Faciliter le développement de technologie qui respecte l'environnement. Encourager l'usage des actifs de façon durable. Faire apparaître le coût des risques sociaux et environnementaux dans les produits financiers. RSE et développement : Les financiers veulent promouvoir des normes élevées concernant la responsabilité de la RSE dans les activités qu'ils financent. Ils souhaitent offrir l'accès aux produits financiers aux populations défavorisées ou à celles des PED. Les stratégies d'investissements des fonds éthiques connaissent un certain essor : investissement dans des petites entreprises socialement responsables, placements solidaires ou alternatifs, pratique de l'activisme actionnarial. [...]
[...] Un pays qui a particulièrement œuvré sur la question est la Suisse. Elle a surtout développé la réflexion au niveau des PME. La Suisse a formé un Comité d'experts en janvier 2001 qui a réfléchi sur la RSE pour pouvoir élaborer en 2002 les bases d'un Code suisse de bonne pratique Définition OCDE du Code de Conduite : Un engagement pris volontairement par une société ou une organisation d'appliquer certains principes et normes de comportement à la conduite de ses activités ou opérations. [...]
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