Notion de comptabilité générale, plan comptable général, article L121-1 du Code du commerce, droit des affaires, droit des sociétés, droit du sport, sources du droit comptable, article R123-172 du Code de commerce, ordonnance 2009-79 du 22 janvier 2009, Comité national de la comptabilité, technique comptable, activité économique d'une entreprise
Le plan comptable général est la matrice de toutes les opérations comptables qui donne la définition de la comptabilité à l'article L121-1 du Code du commerce. C'est une définition théorique, assez difficile à saisir, à comprendre, ce qui fait que d'une manière plus simple on peut en donner une autre définition. La comptabilité serait une technique qui vise à rendre compte en termes monétaires de la situation et de l'activité d'une entité. De cette définition, on peut tirer deux éléments, d'abord que la comptabilité est une description monétaire, ce qui signifie que les opérations que va effectuer l'entreprise que l'on examine seront exprimées simplement en termes monétaires, de valeur, sous l'angle financier. L'augmentation de capital, par exemple, sera retenue par son montant.
L'information essentielle que l'on va retirer au sujet d'une vente sera son prix. On voit en tout cas que l'image retirée de la comptabilité n'est que parcellaire, incomplète, ce qui fait que si un investisseur souhaite réaliser une opération, participer à une augmentation de capital, la comptabilité sera très utile puisqu'elle permettra de connaitre la réalité économique et financière de l'entreprise. En revanche, si l'investisseur souhaite participer à une démarche RSE, éthique, la comptabilité ne lui apprendra rien. C'est dire que la comptabilité est utile, mais il faut aussi en voir les limites. Seules sont donc appréhendées par la comptabilité les données qui sont d'ordre quantitatif, à l'exception de celles qui sont d'ordre qualitatif et qui constituent pour autant une image capitale de ce qu'est une entreprise.
[...] PARTIE II : LES ÉCRITURES COMPTABLES C'est la deuxième partie de ce cours donc. Jusqu'à présent, les écritures que l'on a vues étaient assez peu complexes parce que c'était la présentation. On va donc aller dans plus de complexité et c'est pourquoi il est particulièrement important de revoir le cours de semaine en semaine. Autre chose qu'il faut noter : l'apprentissage de cette nouvelle partie relative aux écritures comptables doit être différent de celui de la première partie qui était plus juridique. [...]
[...] Les contrats d'achat ont été conclus pour un montant de 15 000 € à chaque fois et s'agissant des ventes de marchandises, à chaque fois, ç'a été 5 000 €. Au cours de l'exercice, le compte de stock de marchandises va demeurer inchangé. Comptablement, il reste donc au niveau du 1er janvier c'est-à- dire de 20 000 €. Les achats et les ventes n'en sont pas moins enregistrés en comptabilité, mais dans les comptes de charges 707 « Vente de marchandises » et 607 « Achat de marchandises ». [...]
[...] L'intérêt de mettre le résultat d'un côté dans les charges est d'équilibrer le compte de résultat puisque dans l'hypothèse d'un bénéfice, lorsque les produits sont supérieurs aux charges, il y a un déséquilibre que l'on va rééquilibrer en intégrant aux charges le résultat net. C'est la même chose en cas de perte. Section 3 : L'annexe L'annexe, comme son intitulé le fait pressentir, est un document qui constitue l'accessoire, l'annexe, le complément du bilan et du compte de résultat dont l'objet est de préciser ce qui est inscrit dans ces deux documents que l'on va préciser et compléter. On trouve un exemple de cette annexe dans le document de référence de L'Oréal dont les notes renvoient au bilan et au compte de résultat. [...]
[...] Section 1 : L'appauvrissement immédiat La constatation de cet appauvrissement immédiat en fin d'exercice se réalise à travers deux écritures, deux types de techniques, l'amortissement et la dépréciation. Ce qu'on appelle l'amortissement c'est la perte de valeur qui est liée à l'écoulement du temps. Si l'on reprend l'amortissement du coût d'achat d'un véhicule, cet amortissement tend à réduire la valeur en comptabilité de ce véhicule au fur et à mesure de l'écoulement des années. L'amortissement traduit donc en comptabilité une perte de valeur ordinaire parce qu'elle n'a rien d'extraordinaire, d'anormal. [...]
[...] Il y avait une augmentation du compte courant d'associé pour un montant de 4 000 € donc la société va mettre ce montant en banque. Comme chaque opération nécessite une double écriture, il faut que soit traduite dans les comptes l'existence d'une créance de l'associé sur la société, d'une dette de la société à l'égard de l'associé. À quel compte correspond cette opération ? Ici, contrairement au compte « Banque » facile à trouver, le compte utilisé est moins connu, moins utilisé donc il va falloir le chercher au plan de comptes. Une parenthèse brève fait apparaître que c'est le compte de tiers « Compte courant », numéroté 465. [...]
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