droit de famille, mariage, acte juridique, fiançailles, dissolution du mariage, procédure de divorce, divorce, Justinien, filiation paternelle, procréation, adoption, domus, enfant adultérin, ancien droit, droit au Moyen-âge, droit romain, ordre familial, société franque, communautés familiales, ménages, communautés familiales élargies, lignage, consensualisme, mariage cum manu, enfants légitimes, empêchement d'un mariage, vie commune, indissolubilité
Depuis 50 ans, le droit de la famille a connu beaucoup d'évolutions et de modifications. Les modifications de ce droit de la famille ont suivi, accompagné les évolutions de la société ainsi que celles des moeurs et des mentalités. L'institution de la famille se trouve à chaque époque, mais on peut se rendre compte qu'elle a subi de fortes transformations au fil du temps. On voit aussi qu'en fonction de plusieurs points de vue, il en existe de diverses formes.
Le droit accorde des droits aux enfants si les parents ont respecté les règles (distinction entre vrais et faux enfants) : avant, le mariage était nécessaire pour avoir des enfants légitimes (filiation légitime). Cela se basait sur le fait qu'il y avait une transmission d'une certaine « nationalité », donc le mariage privé devient public.
[...] Pendant l'époque ancienne, la famille est très étendue et elle vit ensemble. Cela s'explique par un contexte historique différent générations qui vivent sous le même toit étaient courant et limite obligatoire (autorité du chef de famille). Le chef de famille a dans sa maison (domus=lieu où tous les descendants du chef de famille se trouvent) tous ses descendants et il a un pouvoir assez fort, même si les mots ne sont pas les mêmes en fonction de sur qui s'exerce ce pouvoir. [...]
[...] En effet à cette époque on a besoin de nouveaux citoyens pour peupler le royaume. On dira alors que tout homme de 25 à 60 et toute femme de 20 à 50 doivent être mariés sous peine de sanctions (ils sont accusés de ne pas donner d'enfants à la société qui en avait besoin). Cela privait du droit de succession. On évolue vers une protection des époux. Ce consentement est donné une fois pour toutes, on ne se marie pas pour deux ans. On parle d'affectio maritalis. [...]
[...] Par exemple, à Rome on considérait que lorsqu'on mariait deux personnes, on donnait à la femme sa part de succession (fille dotée) et on la mariait pour qu'elle donne des enfants. On distingue les biens propres de chacun et les biens communs. On voit également que le mariage se transforme et évolue. Cela s'est fait récemment. Le mariage est depuis moins 10 ans autorisé pour les personnes homosexuelles. Les trois constantes que l'on a remarquées précédemment se modifient peu à peu. Aux origines L'humain sait qu'il va mourir. [...]
[...] À Rome, on distingue le mariage avec la main (« cum manu sine »), soit le fait que c'est le mari qui va exercer le pouvoir sur sa femme. Elle quitte sa famille et intègre celle de son mari, mais lorsque la femme est mariée sans la main, elle ne dépend pas juridiquement de son mari et reste soumise à son père et continue d'appartenir à sa famille. droit aménage la famille. Patriarcale vient des mots Pater et arche. Ces mots grecs signifient littéralement « Pouvoir du père ». On parle aussi de parenté agnatique. [...]
[...] Le droit prend ici le pas sur le biologique. Les parents adoptifs vont en effet devenir les « vrais » parents. À Rome, l'adoption pouvait également servir à sceller et créer des alliances politiques entre de grandes familles. Ces deux procédés entraînent la rupture avec l'ancienne famille. L'adopté ou l'adrogé devient un enfant légitime de l'adoptant ou adrogeant. Cela jouera sur les droits d'héritage. Il faut également noter que la femme et les enfants de l'adrogé ou l'adopté rentrent dans la nouvelle famille. [...]
Bibliographie, normes APA
Citez le doc consultéLecture en ligne
et sans publicité !Contenu vérifié
par notre comité de lecture
