Le suicide assisté

Extraits

[...] Le suicide assisté En France personnes sur 10 sont favorables au suicide assisté. Ce sujet fait débat depuis de nombreuses années au sein de la population française (et mondiale). En effet, de nombreuses personnes se battent pour arriver à faire autoriser cette pratique en France, pendant que d'autres sont catégoriquement contre. Le suicide assisté désigne l'acte de fournir des moyens nécessaires et un environnement à une personne pour qu'elle se suicide. Il est également employé comme le suicide médicalement assisté. [...]

[...] L'euthanasie c'est lorsqu'une personne du corps médical doit injecter un produit létal dans le corps d'un patient qui désire mettre fin à sa vie. L'approche du suicide assisté permet à une personne suicidaire d'explorer son désir de la mort et d'avoir des discussions sincères avec des professionnels de santé. Le déroulement de la procédure peut s'effectuer par un suicide simple, un suicide assisté par la famille ou des amis et par un suicide accompagné de la présence d'un médecin. Le suicide assisté est un processus qui demande plusieurs étapes. [...]

[...] Le suicide assisté 1. Argument Le suicide assisté n'ait pas autorisé en France, c'est pourquoi quand une personne veut mourir elle est obligée de se déplacer dans un autre pays. Il y a différentes situations, la personne qui se déplace pour mourir et les personnes qui accompagnent un proche dans la mort. Cela est arrivé à une femme qui a dû accompagner son fils dans un autre pays afin qu'il puisse mourir. C'est un choix personnel et très réfléchi qui a demandé des années de réflexion. [...]

[...] Le droit à mourir implique le droit à tuer. Du point de vue des médecins le suicide assisté et l'euthanasie sont des choses contre nature, car leur devoir et de sauver les patients et non de les aider à mourir. Ces circonstances pourraient engendrer chez les médecins des séquelles personnelles. Il est facile d'imaginer des cas ou un patient pourrait demander l'euthanasie librement alors que cela pourrait aller à l'encontre du patient comme un diagnostic erroné ou encore une imagination d'un patient qui voit sa situation pire qu'elle ne l'est. [...]

[...] Grâce au suicide assisté autorisé en Belgique cet homme a pu en quelque sorte planifier sa mort. Il avait décidé d'une date avec sa femme, un mois avant de passer à l'acte. Lorsque sa femme parle de ce dernier mois en sa compagnie, nous pouvons sentir que celle-ci garde de très nombreux bons souvenirs, car ils ont tout simplement eu le choix. Ils ont choisi ce qu'il allait manger pour la dernière fois, ce qu'il allait écouter pour la dernière fois et qui il allait voir pour la dernière fois. [...]