En 2006 , sur l'ensemble des couples existants on a enregistré 140 000 divorces contre 267000 nouveaux mariages. Si cette tendance se poursuivait , cela signifierai que plus d'un mariage sur deux serait rompu chaque année. Il semble bon de s'interroger sur l'évolution de la famille française au 21ème siècle et ainsi d'étudier la famille nucléaire et les nouvelles formes de la famille.
Pour l' Institut national de la statistique et des études économiques , que nous connaissons surtout sous l'abréviation INSEE, une famille est la partie d'un ménage comprenant au moins deux personnes. Cette famille est constituée soit d'un couple marié ou non avec son ou ses enfant(s) appartenant au même ménage, soit d'un adulte avec son ou ses enfants appartenant au même ménage , ce qui correspond à la famille monoparentale.
En sociologie , la famille se définit comme une instance primordiale de la socialisation primaire ou posant les règles de base de la vie en société et en stimulant l'autonomie de l'enfant. Elle transmet les normes et les valeurs en vigueur dans la société.
La famille est présente dans toutes les sociétés mais cela ne signifie pas que sa forme est toujours la même . En effet, elle est très diverse dans le temps et dans l'espace. Nous allons nous intéresser au cas de la famille français qui a connu de nombreuses évolution en particulier à partir des années 60.
Le modèle de famille dominant par le passé et qui perdure encore aujourd'hui est celui de la famille nucléaire qui regroupe les parents et leurs enfants non mariés. Cependant , suite aux bouleversements de la société comme l'élévation du taux d'activité féminin, la libération sexuelle, l'émancipation de l'adolescent et la croissance du nombre de divorce on constate une remise en cause de ce modèle . Ainsi, apparaissent de nouvelles formes de familles telles que la famille monoparentale et la famille recomposée.
e ce fait aujourd'hui , la famille n'a plus de modèle précis et elle semble avoir éclatée. On en vient alors à ce demander si celle-ci est en crise et si elle est définitivement désinstitutionnalisée .
[...] Si ces trois critères sont remplis , l'être humain acquiert la personnalité juridique. La notion de personne humaine , quant à elle, débute dès la conception d'un individu à partir du moment où sa vie débute . Ainsi, ces deux notions , la personne humaine et la personne juridique , se rejoignent et ne forment plus qu'une dans la période post natale. La mort caractérisée par la fin de la personne humaine et de la personnalité juridique La disparition d'un individu entraîne à la fois la perte de la personne humaine, l'être humain n'existe plus puisqu'il ne vit plus et de la personne juridique c'est-à-dire le fait que cette personne n'a plus de droit, n'as plus d'existence au sens juridique. [...]
[...] Enfin , la mort du fœtus ,quelles que soient les conditions, peut entrainer un deuil pathologique chez les parents si celui-ci se voit ignorer toute reconnaissance humaine et civile. La loi a ainsi réformé les règles relatives à l'Etat civil dont dépend l'établissement d'un lien avec l'enfant et la possibilité de funérailles. Cependant cette reconnaissance civile est vivement critiquée puisqu'elle n'est pas valable pour l'ensemble des êtres humains morts avant d'avoir vécus. [...]
[...] Dans ces deux cas, il est impossible de savoir si l'absent ou le disparu est encore en vie , il est impossible de savoir s'il demeure une personne humaine ou non . Ce doute quant au décès remet en cause cette double perte cumulative. Il peut arriver que l'absent au bout d'un certain délai soit déclaré absent et donc présumé décédé, il se peut alors que l'absent perde sa personnalité juridique tout en restant une personne humaine si celui-ci n'est pas mort . Nous pouvons faire le même constat dans le cas de la disparition. [...]
[...] Ainsi , que ce soit avant la naissance ou après l'individu est une personne humaine. Cette humanité ne s'acquiert pas à la naissance, il suppose juste le fait d'être humain et en vie, soit un seul critère de l'acquisition de la personnalité juridique . Ainsi , il n'y a pas lieu de distinguer personne humaine et personne juridique après la naissance. En effet , une personne juridique peut être soit une personne physique ou une personne morale. Une personne physique est un être humain , c'est-à-dire une personne humaine qui a obtenu la personnalité juridique. [...]
[...] La personne représente à la fois une construction culturelle et une construction juridique. Au sens juridique, une personne se distingue de la chose, puisqu'elle détient la personnalité juridique. La personnalité juridique, c'est l'aptitude à être sujet de droits et d'obligations reconnue à toutes les personnes physiques et sous certaines conditions aux personnes morales. Une personne physique, est une personne humaine , à laquelle on a attribué la jouissance de droits. Une personne morale , quant à elle , est une entité, un groupement de personnes physiques. [...]
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