Le droit ne propose pas de définition précise, juridique de la famille, même si plusieurs codes y font référence comme le Code civil et de plus en plus le Code de l'action sociale et des familles.
Il y a quand même des tentatives de définitions dans les lexiques juridiques. Au sens large par exemple, la famille comprend l'ensemble des personnes qui descendent d'un auteur commun et qui sont rattachées entre elles par le mariage ou la filiation. On désigne souvent cette famille sous le nom de famille souche ou lignage (...)
[...] La progression de la liberté La progression de la liberté, on peut la mesurer par rapport au recul de l'ordre public en droit de la famille. On va vérifier que le droit impératif régresse au profit d'un droit plus supplétive. La famille reste une institution publique sur lequel l'Etat garde un droit de regard. On peut mesurer cette liberté au niveau personnel. On s'est rendu compte, au début des années 1900, que les interdits matrimoniaux ont reculé. Ce qui veut dire que la liberté matrimoniale se renforce. [...]
[...] Pendant environ un siècle et demi le droit de la famille reste stable sauf quelques réformes ponctuelles. Le divorce est aboli avec la Restauration et il sera rétablit sous la IIIe République par une loi de 1884. Pendant cette période l'enfant naturel voit ses droits progresser idem pour le conjoint survivant pour les droits de succession. La famille moderne Jusqu'aux années 1960, le droit de la famille se construit à partir de l'institution du mariage stable et durable seul modèle de référence sous l'autorité du mari. [...]
[...] Le droit parle de frères germains lorsque les frères descendent des mêmes pères et mère, on parle de frères consanguins lorsqu'ils n'ont qu'un père en commun et on parle de frères utérins lorsqu'ils n'ont qu'une mère en commun. Dans la parenté collatérale, pour calculer le degré de parenté, il faut partir du premier intéressé remonter à l'auteur commun et redescendre jusqu'à l'autre parent intéressé. Chaque génération équivaut à un degré: frère et soeur parents au second degré. Les cousins germains : Parents au 4ème degré. En terme de succession on peut succéder jusqu'au 6ème degré. Il y a ensuite les liens de parenté qui ne sont pas familiaux comme l'adoption et le lien d'alliance. [...]
[...] On recense deux millions de familles monoparentales. Les familles recomposées sont de plus en plus nombreuses et aujourd'hui trois enfants sur dix vivent dans une famille recomposées ou monoparentales. On peut voir trois transformations importantes de la famille: Elle est liée à la progression de l'individualisme: l'individu devient la cellule de base de la société et prend le pas sur le groupe et la famille. On assiste à une privatisation de la famille à savoir que la sphère familiale privée augmente et échappe de plus en plus à l'emprise de l'Etat. [...]
[...] Ici s'instaurent par exemple les liens entre le mari et sa belle soeur . par exemple . Le lien d'alliance existe aussi avec les enfants issus d'un premier mariage. L'épouse par constitution du lien d'alliance devient marâtre des enfants de son époux et le mari, parâtre des enfants de son épouse. Il y a des règles juridiques qui vont s'appliquer à ces liens. Ce lien va par exemple déboucher sur des obligations alimentaires ainsi l'article 206 du Code Civil dispose que les gendres et les belles-filles doivent des aliments à leurs beaux-pères et leurs belles-mères L'adoption va créer un lien de filiation en dehors d'une parenté biologique. [...]
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