Le droit de l'entreprise s'apparente au droit commercial. Le droit commercial prouve par son contenu que le cloisonnement entre certaines branches du droit manque souvent de pertinence.
[...] Lʼactivité économique suppose lʼintervention de personnes agissant en qualité de professionnel ou autre. Mais aussi, de personnes qui sont les destinataires ultimes de la production économique, à savoir le consommateur. LʼEtat joue aussi son rôle en prélevant des impôts. La transparence sʼaffirme aussi comme lʼune des exigences majeures de lʼactivité économique dont les effets profitent surtout à ceux qui ne sont pas directement impliqués dans lʼactivité économique tout en étant intéressés, à savoir les consommateurs et lʼEtat. 1 : La facturation. A - Définition des rôles de la facture. [...]
[...] B - Critère des origines de la clause. Le contrat nʼest pas la source exclusive de lʼobligation de non concurrence, la loi intervient également dans la naissance de lʼobligation de non concurrence - Lʼobligation de non concurrence dʼorigine légale. Les auteurs fondent parfois les obligations de non concurrence sur lʼobligation dʼexécuter les contrats de bonne foi. Elle prend sa source dans lʼarticle 1134 al.3 du Code civil, il sʼagirait dʼune sorte de garantie du fait personnel et les auteurs considèrent pour certains à juste titre, que sur cette base légale, lʼobligation de non concurrence est de lʼessence de certains contrats dans lesquels elle se trouve sous-entendue. [...]
[...] Les entreprises peuvent compléter les documents comptables obligatoires par des suppléments facultatifs. B - Les principes de comptabilité. Ce sont eux qui gouvernent la tenue de comptabilité des entreprises - Les principes généraux. Ils sont au nombre de trois : régularité des comptes : cʼest la tenue des comptes, elle doit être conforme aux règles habituellement suivies en comptabilité. sincérité des comptes : elle condamne les inscriptions mensongères. fidélité des comptes : cʼest la prohibition de tous décalages entre la comptabilité de lʼentreprise et la situation économique réelle de lʼentreprise. [...]
[...] A - Une définition incertaine de lʼartisan. La loi du 5 juillet 1996 modifiée depuis lors, loi applicable à lʼartisanat énonce une définition de lʼartisan toutefois elle ne paraît pas satisfaisante, raison pour laquelle la jurisprudence intervient pour préciser cette notion - La loi. Un code de lʼartisanat et des métiers est en préparation devant venir se substituer au Code de lʼartisanat en vigueur à la rédaction plutôt imparfaite. Il convient de se reporter au texte épars en vigueur. Après moultes évolutions législatives, la loi du 5 juillet 1996 et son décret dʼapplication modifié le 2 avril 1998, relative à la qualification artisanale et au répertoire des métiers, fixe aujourdʼhui la définition de lʼartisan doivent être immatriculé au répertoire des métiers, les personnes physiques et les personnes morales qui 29 Droit de lʼentreprise nʼemploient pas plus de 10 salariés et qui exercent à titre principal ou secondaire une activité professionnelle indépendante de production, de transformation, de réparation ou de prestation de services relevant de lʼartisanat et figurant sur une liste établie par un décret en Conseil Etat après consultation de lʼassemblée permanente des chambres des métiers de lʼAssemblée des chambres françaises de commerce et d'industrie. [...]
[...] 4 : Le commerçant de fait. Cette expression vient de la doctrine et désigne la personne qui se trouve astreinte à subir les contraintes rigoureuses nées de la qualité de commerçant sans pouvoir bénéficier des avantages liés à la profession commerciale. Lʼexercice de lʼactivité commerciale peut déboucher sur les qualifications de commerçant de fait. Exemple type : la personne qui exerce le commerce sans être immatriculée au RCS ou encore la personne qui pratique une activité commerciale soumise à autorisation sans avoir cette autorisation. [...]
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