Le droit nécessite un certain nombre d'outils conceptuels, linguistiques, puisque le droit constitue une discipline à part entière ayant son originalité, ayant sa singularité. C'est une discipline totalement absente dans le second degré. Le droit n'est pas une matière quasi-mystérieuse, hermétique. Ce n'est pas non plus l'idée d'un ensemble de règles, d'un amas de règles, qu'il s'agirait d'apprendre par coeur : la connaissance du droit ne se réduit pas à une bonne mémoire. Le droit suppose avant tout des méthodes fondées sur une certaine logique, supposant des instruments techniques et une terminologie précise. On demandera au juriste de s'exprimer de façon rigoureuse d'un point de vue intellectuel. En clair, la mise en oeuvre du droit fait appel à un savoir-faire particulier, à des méthodes caractéristiques.
[...] Ici, on veut évoquer que les rapports qui ont tout simplement présider à la formation des termes actuels (vocabulaire juridique français) en sachant que la formation des mots c'est fait en utilisant des termes ou des racines empruntées à d'autres langues, mais d'autres mots ont été formés par dérivation ou composition à partir de termes préexistants dans la langue française. Les rapports de comparaisons. Ce sont les rapports qui résultent du rapprochement du ou des sens que possèdent ces mots. Ces rapports vont se distinguer très logiquement, d'un coté en rapports d'analogie, et de l'autre en rapports d'opposition. Rapports d'analogie : il s'agit d'évoquer la synonymie. Les véritables synonymes sont rares dans le vocabulaire juridique. Pourquoi cette rareté ? Parce que le vocabulaire juridique doit rechercher la plus haute précision. [...]
[...] On pose dans l'abstraction, une hypothèse, un cas, qui fait problème et qu'il faudra résoudre. La conséquence c'est l'effet attaché par la loi à la situation déterminé par l'hypothèse, et il faut bien souligner que sous une forme ou une autre, la détermination de la conséquence est toujours présente de l'énoncé du texte. La norme vient de cette double détermination de la situation et de son effet de droit. Un énoncé tactique à un ensemble : Le discours législatif n'est pas un texte compacte, se n'est pas un bloc de rédaction avec des phrases qui seraient écrites a la suite, puisqu'on les présentes en articles. [...]
[...] La façon de diviser un texte est porteuse d'idée. En même temps, il ne faut pas oublier que tout le droit n'est pas dans la loi et que l'ensemble des lois et des codes forme un tout. La condition favorise l'unité, mais on doit rechercher la cohésion avec l'ensemble de l'ordre juridique au delà d'un code, et cette cohésion doit exister en tout loi, même quand elle n'est pas intégrer a un code. Cela étant, la codification permet un ensemble de règles assemblées d'atteindre le plus haut degré de cohérence, et pour cela, la technique législative dispose d'un certains nombres de moyens. [...]
[...] Sa n'est que d'une manière indirecte que ces éléments matériels sont l'objet d'observations puisque ils doivent d'abord être traduit en concepts. Cela étant, on décrit généralement le raisonnement juridique comme un raisonnement déductif, et plus spécialement, on le décrit comme étant un syllogisme selon lequel si les fait en cause correspondent à une situation visé par une règle de droit, ils doivent évidement être soumis à cette règle de droit. En même temps, ce raisonnement utilise ce que l'on appelle des procédés de logique formelle. [...]
[...] C'est donc l'ensemble des mots qui ont au moins un sens juridique. C'est mots pourraient avoir un ou plusieurs sens juridiques. L'étude du vocabulaire juridique n'est autre chose qu'une finalité sémantique, la recherche et l'analyse du sens des mots. Il convient donc de commencer avec les mots en tant que tel avant de voir les rapports entre ces mots. Les mots Il va falloir isoler les termes qui appartiennent au vocabulaire juridique pour les situer au langage courant. L'appartenance au langage juridique. [...]
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