Définition du bien
Le bien est une chose, mais toutes les choses ne sont pas des biens. Pas de définition claire et précise...
Définition du patrimoine
Le patrimoine est un ensemble (actif + passif), lié à la personnalité (toute personne en acquiert un dès la naissance), tout patrimoine appartient à une personne, et les éléments personnels sont exclus du patrimoine (ils ne sont ni saisissables, ni transmissibles, ni cessibles) (...)
[...] À distinguer : les fruits naturels (que produit la chose naturellement ou par sa culture) des fruits civils (résultats de l'exploitation juridique d'un bien). Le produit se détache du capital, mais cette séparation altère le principal. Par exemple, les matériaux d'une carrière. IV. Choses appropriées et choses non appropriées. Les choses non appropriées ne sont pas des biens. Soient, elles sont insusceptibles de l'être comme les choses communes telles que l'air. Soient, elles sont susceptibles de l'être mais ce sont des biens vacants. Les biens vacants ne peuvent qu'être meubles car les immeubles vacants appartiennent à l'Etat. [...]
[...] * Celui qui a payé peut il faire contribuer les autres indivisaires ? Si c'est une dette personnelle de l'indivisaire, ses créanciers personnels ne peuvent pas saisir les biens indivis. Ils doivent provoquer le partage par la voie de l'action oblique. Ils pourront donc se servir parmi les biens qui entrent dans la propriété du débiteur. II. Gestion de l'indivision. A. Maintien des principes. Dans le régime de l'indivision, un acte de disposition requiert le consentement de tous les indivisaires principe de l'unanimité. [...]
[...] Progressivement, s'explique la propriété de celui qui exploite la chose. La Nuit 4 août 1789 voit l'abolition des privilèges et la restauration de l'unité du domaine. Sacralisation du droit de propriété comme une conquête de la liberté avec la DDHC. La propriété est mise au coeur du Code Civil. L'idée que le propriétaire puisse commettre une faute naît avec l'arrêt Clément-Bayard : la limite du droit de propriété est le fait de nuire à autrui. Cas d'abus de droit de propriété. [...]
[...] Le droit de superficie présente les caractères de la propriété : c'est un droit perpétuel. Le superficiaire a également un droit d'usus, d'abusus et de fructus. TITRE 4. LES RELATIONS DE VOISINAGE. Toutes ses règles sont suscitées par le contact d'un fond appartenant à un propriétaire à un fond appartenant à un autre propriétaire. Trois domaines : les limites du voisinage : il existe plusieurs manières de délimiter une propriété foncière. Par des bornes, des clôtures ou des murs dont le plus répandu est le mur mitoyen (mode de clôture séparant deux fonds contigus appartenant à 2 propriétaires distincts et qui suit la ligne de séparation). [...]
[...] Irrecevabilité entre contractants. Ces actions possessoires ne peuvent pas être exercées entre contractants, seulement contre un tiers. Elles sont donc ouvertes au preneur a bail contre un tiers mais pas contre le bailleur. II. Les effets de la possession. A. La présomption. Le possesseur est présumé titulaire du droit qu'il possède. dans une action pétitoire, le possesseur est défendeur au procès. Il n'a aucune initiative à prendre. il n'a rien à prouver, la possession fait présumer son droit. C'est au demandeur s'apporter une preuve contraire à la possession du défendeur. [...]
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