Théorie de Hobbes, droit, besoins sociaux, ordre social, société, justice, discriminations individuelles, Blaise Pascal, société équitable, Jean-Jacques Rousseau, citoyens, autorité souveraine, lois de l'état
Le droit, c'est un ensemble de règles dont le but est de régir la vie en société et de l'organiser selon des principes qui lui sont propres. Le droit et l'existence en société sont interdépendants : pas de droit sans société et vice-versa. L'importance et la finalité du droit permettent d'esquisser la forme de société dans laquelle nous évoluons. On peut alors considérer le droit comme condition même de possibilité de l'existence du peuple en tant que peuple. En effet, le droit, c'est la légitimité, non pas une violence faite au peuple, mais ce qui lui permet d'exister, de s'autoréguler. Le droit s'établit selon la société, le contexte et l'histoire de cette société.
[...] Le droit et l'existence en société sont interdépendants : pas de droit sans société et vice-versa. L'importance et la finalité du droit permettent d'esquisser la forme de société dans laquelle nous évoluons. On peut alors considérer le droit comme condition même de possibilité de l'existence du peuple en tant que peuple. En effet, le droit, c'est la légitimité, non pas une violence faite au peuple, mais ce qui lui permet d'exister, de s'autoréguler. Le droit s'établit selon la société, le contexte et l'histoire de cette société. [...]
[...] Le droit intervient alors par l'intermédiaire de la justice institutionnelle. C'est un droit qui suppose l'existence d'institutions pour le mettre en place. Le droit protège les valeurs chères à la société à un moment donné. Le droit actuel défend notamment, à travers ses règles, les principes d'égalité et de liberté. Cependant, même si le droit doit protéger la liberté et l'égalité, il semble contradictoire de réunir les deux éléments. La liberté absolue, synonyme de domination d'une poignée d'hommes sur d'autres, ne peut coexister avec l'égalité. [...]
[...] Le droit positif des démocraties occidentales a pour vocation majeure de protéger les intérêts et les biens de la population, notamment les détenteurs précaires, qui peuvent se trouver dans une situation de précarité s'ils doivent restituer un bien. La légifération empêche, en théorie, de faire de la précarité un facteur déterminant dans la société. C'est un facteur de protection applicable à tous. B. Droit et arbitraire Les règles de droit interdisent des actes ou comportements, pour lesquels il est obligatoire de ne pas violer l'interdiction proclamée, ou alors cette violation sera sanctionnée. Le droit s'oppose alors à l'arbitraire des comportements, et permet de protéger. [...]
[...] De plus, le droit peut empêcher l'arbitraire, c'est-à-dire le pouvoir autoritaire qui dépend uniquement de la volonté de celui qui l'exerce, de pouvoir contrôler la société. C'est en ceci que le droit agit comme un rempart contre l'abus de pouvoir. Le droit peut empêcher que celui qui possède le pouvoir l'exerce aux dépens de celui qui est gouverné. L'arbitraire, c'est l'injuste, la tyrannie, ce qu'on présente comme l'anéantissement de la liberté. Le droit s'exerce alors comme un moyen de prévention des privations illégales de liberté. II. [...]
[...] C'est pourquoi ce droit aura pour fonction par exemple de protéger contre les agressions, les dangers de la route, ou encore les vols. Selon la théorie de Hobbes, le droit remplace les rapports de force par des règles. Il prend en compte, dans l'état d'abstraction qu'est la pure nature, un droit de nature, pour fonder sa théorie sur les rapports sociaux et la sécurité. Selon lui, les lois naturelles ont pour fonction de tempérer ce droit de nature. Ces lois sont des vertus morales, pas proprement des lois, mais des qualités qui disposent les hommes à la paix et à l'obéissance. [...]
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