Les distributeurs de l'assurance sont aujourd'hui en pleine évolution et en développement constant. On trouve dans le domaine de la distribution d'assurance tous les modes d'intermédiation et de rapprochement que l'on peut rencontrer dans la vie des affaires. L'assurance peut être distribuée par des mandataires, des professionnels indépendants, des réseaux salariés, des courtiers (grossistes, détaillants), du réseau de distribution et le canal de l'internet.
Tous les modes de rapprochement de l'assurance sont utilisés. L'assurance est distribuée aujourd'hui à la limite de la légalité et est souvent franchie comme pour internet, que dans des réseaux de distribution : comme les établissements de crédit et les banques, les assureurs se sont rendus compte que le canal direct de commercialisation est encore de vendre de l'assurance en même temps que les produits assurés. Quand on achète un téléphone, le besoin de financement se couple avec l'achat. Tout le monde vend de l'assurance (vendeur de téléphone, guichetier station de ski…) et le fait parfois n'importe comment.
Le droit français, depuis longtemps a réglementé le droit de l'assurance : l'assurance est un produit dangereux qui engage le consommateur. Il a besoin de spécialistes : il ne peut pas être vendu sans explication. Le droit français a posé des règles de contrôles, des règles d'agrément et poser des statuts pour tous ces distributeurs et entend les faire respecter.
[...] Si les assurances ne jouent pas le rôle de relai, la banque et l'emprunteur seront pénalisés. Pour être remboursée, la banque devra saisir les biens immobiliers. Pour pallier à cela, la réponse de la loi est de sanctionner par une obligation autonome de conseil pour que l'assureur apporte le contrat le mieux adapté aux besoins du client. Le 15 décembre 2005, la loi reconnaissait légalement l'existence d'obligation de conseil : l'article dispose que l'obligation de conseil est précontractuel, il est nécessaire avant la conclusion de tout contrat. [...]
[...] Les distributeurs d'assurance : l'intermédiation Les distributeurs de l'assurance sont aujourd'hui en plein évolution et en développement constant. On trouve dans le domaine de la distribution d'assurance tous les modes d'intermédiation et de rapprochement que l'on peut rencontrer dans la vie des affaires. L'assurance peut être distribuée par des mandataires, des professionnels indépendants, des réseaux salariés, des courtiers (grossistes, détaillants), du réseau de distribution et le canal de l'internet. Tous les modes de rapprochement de l'assurance sont utilisés. L'assurance est distribuée aujourd'hui à la limite de la légalité est souvent franchie comme pour internet, que dans des réseaux de distribution : comme les établissements de crédit et les banques, les assureurs se sont rendus compte que le canal direct de commercialisation est encore de vendre de l'assurance en même temps que les produits assurés. [...]
[...] Très peu de professionnels font ceci. Ce sont des courtiers de très haut niveau sur un marché restreint, avec une compétence nationale et internationale, avec un gros travail préparatoire avec de gros clients. Pour comparer un contrat, il faut se mettre en situation réelle dans un même sinistre de même valeur. Ce ne qu'est que sur des exemples précis que l'on peut réellement comparer les contrats : les points de vigilance, c'est-à-dire les points essentiels du contrat. En montrant cela au client, on présente un outil fiable. [...]
[...] Il n'y a pas de différence de statut : tous sont des intermédiaires. Les actes de rapprochement distinguent la présentation, la proposition et l'assistance à la conclusion ainsi que tous les actes de la phase précontractuelle. Le texte exclut l'activité de gestion de sinistres, l'activité n'est pas intermédiaire. L'intermédiaire intervient dans la phase précontractuelle, c'est-à-dire avant le contrat. L'intermédiaire peut présenter, lorsqu'un intermédiaire rapproche un candidat à l'assurance d'un assureur. Il n'y a pas de mandat, pas de représentation mais l'intermédiaire amène une personne intéressée à la recherche d'un produit d'assurance vers des assureurs qui peuvent lui apporter une solution. [...]
[...] Ces éléments doivent être adaptés à la complexité du contrat d'assurance proposé. La plupart du temps, les clients souhaitent prendre une assurance pour le décès. Cependant, il est un contrat très peu assuré car le capital est fixé dès le départ. En revanche, l'assurance d'invalidité coute très cher à l'assurance car en cas d'invalidité, elle assurera toute la vie du client. Il y a une obligation légale, une obligation précontractuelle, une obligation écrite, obligation de s'informer et donner un conseil par écrit de façon motivée sous peine d'engager sa responsabilité professionnelle. [...]
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