Cours relatif aux idées des grands penseurs du XVIIIème siècle en rapport au droit et aux lois. La première partie est consacrée à la notion de contrat social chez différents penseurs, et la seconde partie est relative à l'ouvrage de Montesquieu De l'Esprit des Lois.
[...] Exemple : la Russie de Catherine II à l'époque des Lumières. La monarchie = c'est un pouvoir de droit divin, fondé sur l'honneur. Exemple : la France et l'Espagne. La république = elle est fondée sur la vertu. Exemple : Les Pays Bas. [...]
[...] Il parle en philosophe, et applique une méthode hypothético-déductive. Il espère trouver un type d'association qui assurerait à chaque individu la sécurité, et dans la vie sociale, le bonheur (véritable quête du siècle, ne pas oublier, révolution / morale judéo-chrétienne car besoin n'existe pas sur terre etc.). Toutefois, l'homme doit conserver sa liberté afin de ne pas trahir son essence Sécurité et liberté sont les deux pôles organisateurs de sa cité Pr Rousseau, une autorité légitimée naît d'un accord réciproque des partis contractants c'est-à-dire une convention. [...]
[...] Rousseau propose une égalité dans les débuts de carrière et une égalité de traitements. Louis XV va donc créer des concours comme l'agrégation (je l'en remercie d'ailleurs personnellement, ceci est ironique évidement DE L'ESPRIT DES LOIS, essai de 1748 MONTESQUIEU 1689-1755 Son œuvre est dense, il y a un côté précurseur de sa pensée. Il a écrit au 18e s. ce qui est aujourd'hui notre société, mais il y a un problème de vocabulaire. Né en 1689 près de Bordeaux, il appartient à la noblesse de cour, privilégiée, d'où son caractère un peu conservateur. [...]
[...] En effet un jour ou l'autre le roi va oublier qu'il n'est que le dépositaire de l'autorité souveraine, la personne chargée de la représenter. Comment préserver la liberté ? par l'éducation et les institutions (en 1762 justement, année du Contrat, il rédige l'Emile ou de l'éducation). Pour être libre, il faut des règles afin de mesurer la liberté car elle- même à des limites, elle n'est pas absolue. L'égalité : on ne naît pas égaux d'après les lois de la nature. [...]
[...] Il prend là le contre-pied de toute la philosophie des Lumières. L'homme de nature vit seul, sans langage, sans raison, sans moralité, vide de tt projet, de tt souvenir, dans l'immédiateté de ses besoins et de ses plaisirs. Bon, libre, heureux, comme peut l'être l'animal. Dépendance exclusive de la nature. La révolution : Rousseau parle beaucoup du danger de l'opinion publique dans son Contrat : la révolution est la conséquence d'une mauvaise politique pour lui, il faut l'éviter car = le désordre est redoutable. [...]
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