En théorie, il existerait un droit absolu et universel. Mais l'histoire permet de contredire cette affirmation illusoire. En effet, le droit varie en fonction de nombreux critères, tels que le temps ou l'espace. C'est ainsi que chaque État dispose d'un droit qui lui est propre. De même à l'intérieur de chaque État il y aurait des communautés différentes bénéficiant eux aussi de droits différents (...)
[...] Dans ce modèle, les droits subjectifs, c'est à dire les droits dont tout individu devrait pouvoir disposer, sont anéantis. Même si quelques objectifs sociaux ont été atteints ( égalité sociale, éducation, répartition des richesses ) ,cette application du modèle socialiste sera un échec dans de nombreux pays, puisque vont renaître des classes, des formes d'autorités et donc de nouvelles inégalités. Les droits religieux et traditionnels Beaucoup de pays, et notamment ceux qui ont échappés à la Colonisation, sont restés très attachés à une conception religieuse du droit. [...]
[...] Ce qui diffère avec les autres systèmes, est qu'ici la violation d'une règle de droit constitue aussi la transgression d'une règle religieuse. Le croyant étant dès lors libre de suivre ou non les règles saintes. Les droits traditionnels Dans ce modèle, le droit n'est pas considéré comme l'assise même du droit social, c'est à dire comme un instrument de cohésion. Au contraire, le droit apparaît comme étant un droit autoritaire, voire arbitraire. La conciliation et la concertation sont alors les règles de bases de ce système. [...]
[...] Malgré tout familles de droit doivent être mise en avant. La famille romano-germanique Cette famille regroupe en somme toute les nations du monde. Précisément, elle vise la France, la plupart des pays européens ( Espagne, Allemagne, Italie . mais aussi l'Amérique Latine, la Turquie et l'ensemble du continent africain. Cette forme de droit s'est alors assez vite imposée comme étant le droit commun des peuples avec un modèle comme Napoléon Bonaparte, qui a imposé aux pays conquis ses codes ( civil, pénal . [...]
[...] A compter du 15ème siècle, sous l'influence de Thomas More, va s'imposer à côté du droit romain une autre pratique appelée Equity qui correspond à un ensemble de règles et de pratiques répertoriées comme étant mauvaise, et qui va par la suite venir compléter la Common Law ( loi commune A partir du 19ème siècle, ce modèle va se développer dans les colonies anglaises puis dans d'autre pays, et va alors apparaître une nouvelle forme d'État communément dénommé Welfare State au sein duquel le juge devient un véritable législateur des particuliers. En Amérique du Nord, s'est développé un modèle original de civilisation. En effet, un métissage entre des principes de Common Law et des principes Romano-germaniques s'est mis en place au 18ème siècle. Après la guerre d'indépendance, beaucoup d'américains ont prôné l'abandon de la Common Law, en vain. Ce système a subsisté malgré la naissance des États fédérés qui appliquait des versions sensiblement différentes de la Common Law. [...]
[...] L'on pense notamment aux grands principes révolutionnaires tels que la liberté, l'égalité ou le patriotisme. La famille de Common Law Cette famille regroupe l'ensemble des pays s'inspirant du droit anglo- saxons. C'est à dire le Royaume Uni de Grande Bretagne, l'Irlande, les États-Unis d'Amérique, le Canada, l'Inde, l'Australie, la Nouvelle Zélande, et même quelques pays musulmans. Contrairement au modèle Romano-germanique, la technique juridique repose sur la classification des faits dans des catégories de cas et de situations. Ces cas étant discutés de façon concrète et d'un point de vue avant tout historique, à l'inverse du système précédent qui lui consacre une approche assez abstraite et automatique. [...]
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