Analyses des articles du juriste et philosophe américain Dworkin, sur la réponse américaine au terrorisme, notamment le "Patriot Act" et les décisions de la Cour Suprême.
[...] Mais, dans de tels cas, la menace qui justifie ce traitement l'exemple proverbial de la bombe qui va exploser et du prisonnier qui sait où elle est sera suffisamment grave pour que la coercition soit justifié sans avoir à en appeler à un quelconque principe qui justifie d'imposer des dommages sérieux pour un bénéfice marginal. Dans un tel cas, nous devons accepter que nous agissons de façon injuste en raison de la nécessité, et limiter l'injustice par tous les moyens possibles Pose problème, car il ne donne pas de principe pour répondre aux dilemmes le plus important. Conclusion : GG= art Menschenwürde sind unantastbar. Mais, art = droit à la vie peut avoir des limites. [...]
[...] Il serait absurde de donner moins de garanties aux personnes accusées des crimes les plus graves. IMMORAL Principe de base est celui d'humanité partagée : que chaque vie humaine a une valeur inhérente qui est distincte et égale. Gouvernement viole ce principe, parce qu'il fait de la sécurité des américains la priorité absolue : toute mesure qui améliore même marginalement la sécurité des américains doit être adoptée, même si cela se fait au détriment des injustices que cela cause aux victimes. [...]
[...] Ministère de la justice Suspendu le droit d'avoir un avocat Au départ : règles très dérogatoires devant la Cour martiale : est revenu en arrière par la suite. Mais, toujours audiences secrètes, auxquelles avocat ne pourra pas participer + possibilité pour gvt continuer à emprisonner un détenu + possibilité de se prévaloir de preuves liées à des écoutes et de confessions involontaires. + absence d'appel. Mérite pas cette protection Bush : ce sont des criminels qui ne méritent donc pas cette protection réponses : PRINCIPE = Question mal posée : pb est de savoir si un innocent mérite cette protection. [...]
[...] Définition très vague du terrorisme Détention des suspects de terroriste sans preuve pendant 7 jours, puis pour des périodes de 6 mois renouvelables si menace la sécurité nationale 3. Perquisition sans prévenir la personne. Auteur : avocat, professeur à la New York University. Philosophe du droit. Prendre les droits au sérieux : herméneutique des principes avec distinction entre règles et principes, ainsi qu'entre principes et politiques. Ces quatre articles = applique cette herméneutique au cas du terrorisme : quelles sont les règles ? [...]
[...] Il est donc juste de limiter les garanties des terroristes. Si nous considérons que les circonstances exigent que nous agissons de façon injuste, nous devons avoir l'honnêteté de le dire Idée d'une balance. Nous devons décider quelles proportions de sécurité et de libertés individuelles nous semblent appropriées, de la même façon que nous faisons un calcul coût - avantage pour la construction de routes. Mais, le choix ne se pose pas en ces termes, puisque les limitations aux droits individuels ne nous toucherons pas, mais concerneront essentiellement les étrangers ou les musulmans. [...]
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