Selon l'article 1108 du Code civil, le contrat doit avoir un objet certain qui forme la matière de l'engagement. Les articles 1126 à 1128 concernent l'objet du contrat, alors que les articles 1129 et 1130 concernent l'objet de l'obligation.
L'article 6 du Code civil dispose qu'on ne peut déroger par des conventions particulières aux lois qui intéressent l'ordre public et les bonnes mœurs.
Ainsi, selon l'article 1126, l'objet est la chose sur laquelle porte l'obligation, il peut s'agir d'une obligation de donner, de faire, ou de ne pas faire.
[...] Nous voyons que c'est une musique qui se cherche sans cesse par une volonté de créer le nouveau scoop, la nouvelle mode et qui cherche une légitimation dans le système. (Nous nous expliquerons). Les magasines étudiés par l'auteur recèlent de nombreuses informations qui montrent par les images et les écrits que chaque style a sa spécificité aussi bien audio que visuelle. La musique techno se cantonne à la promotion de nouveaux matériels technologiques. Elle adopte un style futuriste ou les articles visent à faire transparaitre des images très stylisées. Ces images donnent à voir une musique très proche du monde informatique et informatisé. [...]
[...] Ce sont des comportements liés aux nouvelles aspirations chez les jeunes et qui prennent naissance avec et à travers les créations musicales présentes. Mais, alors que ces comportements semblent tendres vers une autonomisation et bouleversent l'échelle des goûts et des valeurs, la puissance de l'industrie est toujours d'autant plus présente. Nous pouvons voir justement qu'elle conditionne le jeune à réaliser sa future tâche de consommateur : en effet, avec l'augmentation du niveau de vie le jeune apparaît comme une demande en puissance. [...]
[...] Ce qui est sur, c'est que le rock a servi de point de départ dans la théorisation des nouveaux courants musicaux. Jusque dans les années 1970, il sert mobilisateur” pour montrer qu'il existe une véritable contre-culture ou encore une culture à la marge ou dite jeune. Mais il faut noter qu'il rentre en concurrence avec les nombreuses variétés musicales qui prennent naissance et qui accordent plus de place à d'autres instruments et technique instrumentale (informatique), à d'autres acteurs sociaux (femmes, noires) à la danse et qui surtout utilisent d'autres modes de classement pour se nommer. [...]
[...] Ceux que l'on appelle aujourd'hui les majors sont en situation d'oligopole. Ce sont des industries qui ont su s'intégrer à tous les niveaux (création-distribution-promotion) en terme musical et qui ne fonctionnent qu'en termes de rentabilité. L'œuvre musicale apparaît comme un simple produit marketing et c'est sur cette base que s'établira la question que se pose l'auteur à savoir, les nouveaux courants musicaux comme simple produit ou pas des industries culturelles. Le Hip-hop, la techno, la pop, le hard rock sont quelques courants musicaux étudiés par l'auteur. [...]
[...] C'est l'attribution illégale de milieu pour faire la fête. C'est une culture musicale qui semble être de plus en plus au centre d'un phénomène de masse (rattrapé par les industries de masse). La pop quant à elle ne semble pas faire passer de message revendicatif ou alors anti-institutionnel (à savoir si c'est pour cela que c'est le style qui a le moins de problèmes avec la société C'est au contraire une musique qui tient à faire oublier la réalité, qui sert à se relaxer hors des contraintes de la société et qui ne parle qu'aux émotions dites gentilles C'est une culture musicale qui, depuis les années 1990 s'est rapprochée de l'industrie culturelle des majors pour exceller. [...]
Bibliographie, normes APA
Citez le doc consultéLecture en ligne
et sans publicité !Contenu vérifié
par notre comité de lecture